Les croyances autour de l’argent

« Vous gagnerez autant d’argent que vous pensez pouvoir gagner. Vos croyances actuelles vous aident-elles à gagner plus ou vous freinent-elles ? »


 

Coucou,

Au cours des dernières années, j’ai travaillé à me débarrasser de mes vieilles croyances sur l’argent et à en construire de nouvelles grâce au transgénérationnel et à un travail profond.

J’avais l’habitude de croire que l’argent c’est pour les autres, que si j’en gagne ma personnalité changerait et je deviendrai mauvaise et que tout mon entourage me trahirait ou ne me fréquenterait que pour mon argent. De sacrées croyances hein !?

Mais maintenant, je sais que argent ou pas, je ne changerai pas profondément. J’évoluerai au cours de ma vie, bien sur, mais je ne deviendrai pas mauvaise juste à cause de l’argent. C’est comme l’alcool, ça ne change pas le fond de ta personnalité, ça la révèle peut-être un peu, c’est tout. Je me suis dit aussi que si mon entourage devait changer c’est que c’était dans l’ordre des choses. Parce qu’après tout, qui a exactement les mêmes personnes autour de soi depuis sa naissance ? Personne ! Car tu évolues, tu te débarrasses de certaines croyances, tu n’as plus envie de certaines choses et tes amis aussi. Alors c’est tout naturellement que tu renouvelles, au cours de ta vie et de tes expériences, les amis que tu as autour de toi.

Comment changer une croyance ? Pour moi, ce qui aide, c’est la thérapie, notamment le transgénérationnel, le coaching et, surtout, m’entourer de personnes qui ont une attitude d’abondance plutôt que de pénurie.

Quand je m’entoure de gens qui croient : « J’ai la capacité de gagner plus d’argent quand je veux. Je ne suis pas limité. Rien ne m’arrêtera. » Puis, avec le temps, je commence à croire la même chose. Leur énergie déteint sur moi !

Je veux te demander, quelle vieille croyance ne te sert plus ? Il peut s’agir d’une croyance concernant l’argent, le temps, les relations, ton corps ou toute autre chose. Es-tu prête à entrer dans la possibilité que, peut-être, cette vieille croyance ne soit pas réellement vraie ?

Qui deviendrais-tu si tu choisissais de croire quelque chose de différent ?

PS. Rachel Rodgers est une entrepreneure, une philanthrope, une millionnaire autodidacte et une personne tellement inspirante. Elle dirige une expérience en ligne de 5 jours appelée Make Money Moves Challenge et cela se produit pour la dernière fois cette année ! Tu peux t’inscrire ici: https://helloseven.ontraport.com/c/s/ASz/vdqNf/6/3pnv/Lep/6c6SN1/tUiReTP4a/P/P/fL/bXU9aHR0cHMlM0ElMkYlMkZtYWtlbW9uZXltb3Zlcy5jbyUzRm9yaWQlM0QxNDY3MTImbWg9YWU4MDVmNTk2NmVhNTA%3D/Z

Si tu veux changer ton attitude vis-à-vis de l’argent et définir de nouvelles intentions pour 2023, relève ce défi. Tu vas l’adorer.

Mémoires du corps

Quand le corps garde en mémoire les traumas familiaux


Je l’écrivais dans un post Instagram récemment, le corps garde en mémoire nos blessures émotionnelles que nous refoulons.

Mais il imprime aussi nos expériences négatives, nos traumatismes vécus durant l’enfance, même quand notre cerveau ne conscientise pas cela. Le corps a réagi à un traumatisme (violence quelconque, maltraitance, perturbation de l’attachement, guerre, attentat, incendie, accident grave, pertes soudaines etc.) à un moment et va garder en lui et répéter cette réaction.

Qu’est-ce que cela signifie ?

Bessel van der Kolk psychiatre et spécialiste du syndrome post-traumatique, nous dit « On parle de « mémoire du corps », mais ce dernier n’en a pas. Il ne se rappelle pas des faits, mais garde l’empreinte d’un événement traumatique. Au même titre que le cerveau réagit aux sensations de faim, froid ou fatigue du corps, il réagit aux traces du traumatisme. Une personne violée dans son enfance peut par exemple ne plus rien ressentir dans sa vie sexuelle d’adulte ».

Notre corps enregistre à tout moment une infinité d’impressions sensorielles et corporelles qui ne sont pas conscientisées et continuent d’agir sur nous.

Mais sais-tu que les traumas familiaux peuvent se transmettre physiquement aux générations suivantes ?

De nombreuses études s’intéressent à l’épigénétique et à sa transmission transgénérationnelle. Ok trop de mots compliqués !

L’épigénétique en gros est la modification, réversible, des gènes à cause d’un événement précis. Cette modification peut être transmise à ses enfants, puis aux petits-enfants et ainsi de suite. C’est ce qu’on appelle (pour faire court) le transgénérationnel.

Donc, des chercheurs ont découvert que ces changements génétiques liés à des événements traumatiques individuels, familiaux ou historiques (génocide, guerre, esclavage) se transmettent de générations en générations, sans savoir sur combien de générations cela peut se produire précisément.

Il y a donc des marques corporelles liées à nos traumas personnels qui se retrouvent dans nos muscles, nos os, notre chair et se réveillent au fil des événements de notre vie. Mais aussi des marques génétiques qui peuvent se transmettent au sein de la famille.

Et là, tu te dis, merci d’avoir plomber l’ambiance ! En gros je vais avoir une vie de m**** à cause de mes propres événements mais aussi ceux de mes ancêtres.

Alors le but de ce mail n’est pas d’être défaitiste. Au contraire il est là pour rappeler que passer par l’esprit pour se guérir est important mais insuffisant. Quand je dis passer par l’esprit, je pense aux thérapies qui permettent la conscientisation.

Que faire ?

Associer l’introspection, la conscientisation avec une libération émotionnelle de ces traumas. Grâce notamment au sport qui permet de renouer avec son corps, de l’écouter de le comprendre, de sentir ses limites et ses forces. De passer par des pratiques de respiration (sophrologie, breathwork), d’utiliser la danse-thérapie, le yoga qui permet de réconcilier le corps avec l’ici et maintenant, les massages-psychologiques et bien d’autres outils qui passent par le corps.

Voilà, j’espère que cet article t’a plu. 
N’hésite pas à partager autour de toi et à me donner ton avis en commentaires. 

A bientôt, 
Natyrel 

PS : As-tu vu mon dernier podcast sur l’impact des secrets de famille sur les générations suivantes ? Tu peux le retrouver juste ici

PPS : Mon programme JOIE est toujours disponible ici. 

Le journaling

« Vous serez surpris de voir à quel point la sagesse de votre journal peut être guérissante et durable. »

Queen Afua

Bonjour, 

J’espère que tu vas bien. 

La semaine dernière, je te parlais de la libellule et de son principe de plonger au cœur de soi pour faire briller sa vraie couleur. 

Aujourd’hui, je reviens avec un outil qui permet de plonger au plus profond : le journaling

Qu’est-ce que le journaling ?



Le journaling consiste à écrire dans un carnet, tout ce qui nous vient à l’esprit. Sans réfléchir, sans essayer de faire de belles phrases. Juste écrire, de manière brute, intuitive. On n’est pas obligé d’avoir un thème en tête au moment de l’écriture. Le but étant de matérialiser ses pensées, ses émotions, sur un carnet.

En le faisant régulièrement, le journaling a des effets très positifs. 

Voici quelques bienfaits



Dans un premier temps, il permet de se connaitre davantage. En effet, écrire permet de se plonger en profondeur à l’intérieur de soi. D’observer les émotions. De les décortiquer. De découvrir qui tu es, ce que tu veux VRAIMENT. De connaitre tes limites et tes blocages

Dans un second temps, le journaling permet de désencombrer l’esprit et ainsi avoir plus de place pour la créativité

Il apaise le mental

Cet outil clarifie une situation, une réaction. 

Il permet de voir le positif. 

Cela permet de se connecter à son intuition.

C’est un exercice que je fais très régulièrement. Parfois je me sens bloquée dans mon travail ou dans ma vie personnelle. Une séance de journaling me permet souvent de mettre des mots sur ce que je ressens vraiment. De comprendre mes besoins non satisfaits. De voir les limites qui ont été dépassées. 

Comment faire concrètement ? 




Prends un carnet, assieds-toi, détends-toi et… écris ! C’est aussi simple que ça. Ecris tout ce qui te vient à l’esprit, même si ça te parait décousu. Ecris sur ce que tu ressens (tristesse, joie, peur), écris sur ce que tu as vécu dans la journée, écris sur tes relations, écris sur ton travail, écris sur le blocage que tu as en ce moment. 

Ecris, simplement. 

Et tu découvriras la sagesse du journaling. 

Et toi ?


Est-ce une pratique que tu aimes faire ? Peut-être ne l’as-tu jamais testée ? Dis moi tout en commentaire. 

Pense à partager à quelqu’un de ton entourage qui aurait besoin de connaitre cet outil simple à mettre en place. 

PS: 
Dans mon programme JOIE, le journaling fait partie des outils essentiels. Chaque jour, et pendant tout le parcours, je t’accompagne dans l’écriture pour plonger au cœur de toi et activer la puissance de la joie

PS 2 : as-tu vu mes derniers podcasts ? L’un sur le lâcher prise avec des pistes concrètes pour aborder cette notion qui reste souvent floue pour la plupart d’entre nous, et l’autre sur le lien entre souffrance, effort et bonheur (faut-il souffrir pour être heureux ?). 


A bientôt, 
Natyrel 

Libellule : sagesse de la joie

Aujourd’hui j’aimerais te parler d’un animal qui m’est apparu lors d’une méditation. J’avais demandé à mes ancêtres de me montrer le chemin spirituel et mon animal totem. 

Durant le voyage, j’étais à la rivière et une libellule s’est posée à côté de moi. J’ai ressenti une forte émotion à ce moment-là et j’ai été très émue, me confirmant que c’était mon animal totem. 

Que symbolise la libellule ?

La libellule symbolise la sagesse de la transformation et de la capacité d’adaptation. Elle est associée au changement et à la lumière. Elle rappelle d’apporter plus de joie dans sa vie et plus de légèreté. Ceux qui ont la libellule comme totem sont enclins à plonger profondément dans leurs émotions et faire briller leurs vraies couleurs. C’est être à l’affût des illusions internes et externes. 

Ca ne te rappelle rien ? 

S’accorder de plonger au cœur de soi

C’est exactement ce que je souhaite transmettre avec mon programme JOIE. Il permet un travail profond pour se dépouiller de ses croyances, de ses peurs et de ses blessures afin d’activer la puissance de la joie.

Parce qu’en prenant exemple sur la libellule, plonger profondément dans ses émotions, même désagréables, n’empêche pas de ressentir de la joie.

C’est même tout le contraire, plus je plonge en moi, plus je me connais.

Plus je me connais, plus je peux faire briller mes vraies couleurs et je me reconnecte à qui je suis.

Plus je me reconnecte à qui je suis, plus j’active la puissance de la joie. 

Tu trouveras dans le programme des méditations, des exercices de respiration, de la sophrologie, de la théorie et des mises en action concrètes pour être léger, serein et heureux maintenant et dans l’avenir. 

Tu ressors plus léger, plus épanouis. Tu es capable de ressentir de la joie de façon constante. Tu connais tes limites, tes besoins et tu sais comment les satisfaire. Tu acquiers un état d’esprit optimiste. Bref tu retrouves ton plein potentiel car tu dis adieu à tes carapaces. 
Si l’envie te dis, tu peux le découvrir ici

Arrives-tu à plonger au cœur de toi-même ? 

A bientôt, 
Natyrel 

La blessure de rejet

En ce moment je m’informe énormément sur la blessure de rejet. Et je trouve qu’on ne se rend pas bien compte à quel point cette blessure nous éloigne des plaisirs de la vie. 

Elle nous pousse à rejeter les plaisirs, l’argent, le sexe. Elle nous déracine de notre chakra sacré.

Lorsque l’on bloque au niveau de l’abondance, c’est la blessure de rejet.

Lorsqu’on a peur de devenir riche, c’est la blessure de rejet. 

Lorsque le sexe nous parait contraignant, c’est la blessure de rejet. 

C’est fou comme on rejette ce qui nous plait à cause de cette blessure. 

Mais c’est quoi exactement ?

Quand tu es concerné par la blessure de rejet, en général, tu portes un masque. Tu veux disparaitre car tu te sens nul. Tu fuis, tout, pour ne pas souffrir, pour ne pas prendre le risque d’être à nouveau rejeté. Et par conséquent, tu te détaches du matériel, pour être sûr de pouvoir fuir, quand bon te semble. 
Tu as l’impression ne pas être assez bien pour être aimé. Tu es souvent dans la lune, dans l’imaginaire pour fuir la réalité. Car être bien sur Terre est compliqué. 
Tu as du mal à croire qu’on puisse te choisir comme ami, partenaire. Tu as peur de prendre trop de place, de gêner. Alors la solitude est ton remède. Car si tu reçois beaucoup d’attention, tu aurais peur de ne pas savoir quoi faire.

La peur du rejet (mais aussi de l’abandon) amène à rejeter, à repousser pour ne pas souffrir quand ça devient trop gros, trop intense, trop beau pour être vrai. Au final, on a vraiment rien et on peut rassurer son mental en disant « tu vois, on ne le méritait pas ». 

On ne veut pas être dans le trop. 
L’abondance c’est trop. 
L’amour c’est trop. 
La sexualité c’est entrer dans l’intimité, c’est être trop à nu. 

Voilà pourquoi se connecter à la joie est important, car plus on le fait, plus on enlève les couches d’oignons (de blessures, de croyances, de peurs) et plus on devient plus léger, plus serein. Plus on se rapproche de qui on est vraiment. 

Est-ce que tu te reconnais ? As-tu l’impression d’être affecté par la blessure de rejet ? Dis-le moi en retour de mail. 

Mon programme qui te transforme

PS: mon programme JOIE est un travail profond pour se dépouiller de ses croyances, de ses peurs et de ses blessures afin d’activer la puissance de la joie. Tu trouveras des méditations, des exercices de respiration, de la sophrologie, de la théorie et des mises en action concrètes pour être léger, serein et heureux maintenant et dans l’avenir. 
Si l’envie te dis, tu peux le découvrir ici

A bientôt, 
Natyrel 

La théorie du hamburger

« Etre heureux c’est décider de voir la magie dans votre vie et en créer davantage. »

Connais-tu la théorie du hamburger de Tal Ben-Shahar ? Je sais que le nom est un peu étrange, mais cette théorie permet de comprendre les 4 archétypes liés au bonheur. 

Selon lui, nous fonctionnons de 4 manières différentes face à la « recherche » du bonheur. Comme les quatre hamburgers qu’il a un jour mangé : 

Le viveur


– le premier hamburger est celui qui est extrêmement bon au goût mais néfaste pour la santé car plein de gras et d’aliments douteux. On prend du plaisir à le manger maintenant sans penser aux conséquences sur notre santé à moyen-long terme. Cet hamburger est lié à l’archétype du viveur. C’est cette personne qui vit au jour le jour. Qui cumule des activités plaisir éphémères et vides de sens. Qui profite de son présent et sacrifie son avenir. 

Le fonceur


– le deuxième hamburger est celui qui a un goût infecte mais qui n’est composé que d’ingrédients sains. L’assemblage de ces aliments sains, sans épices, font que le burger contribue à maintenir notre santé mais ne nous procure aucun plaisir sur l’instant. C’est l’archétype du fonceur. Le bonheur est toujours pour plus tard : quand j’aurai une grande maison, quand j’aurai une promotion, quand j’aurai un enfant… Ici le présent est dénoué de plaisir dans l’espoir qu’il arrive dans le futur. Mais il n’arrive jamais, car on le repousse constamment, malgré les différents objectifs atteints. 

Le défaitiste


– le troisième hamburger est horrible : ni bon pour la santé, ni bon au goût. Il est lié au défaitiste : celui qui ne croit plus au bonheur, qui pense que c’est pour les autres et pas pour lui. Il a vécu des expériences négatives et en déduit que la vie est ainsi faite, qu’on ne peut rien y changer. 

Le bienheureux


– enfin le dernier burger est à la fois bon pour la santé et excellent au goût. On choisit des aliments sains, que l’on aime, on ajoute quelques épices et le tour est joué ! C’est l’archétype du bienheureux qui ne sacrifie ni son présent, ni son futur. Qui a compris que le bonheur est une ressource illimitée dont on peut se servir en quantité. Les objectifs futurs sont là simplement pour augmenter la joie présente. 

Et toi ?


Dans quel archétype te reconnais-tu ? peut-être as-tu été dans les 4 à certains moments de ta vie ? Peut-être même que tu ne comprends pas un archétype ? 
J’aimerais connaitre ton avis. Tu peux me répondre en commentaire. 

Mon programme qui te transforme



J’ai créé le programme JOIE, justement pour ne plus être dans les 3 premiers archétypes. Le but de la vie est d’être comme le bienheureux. Celui qui se construit un avenir meilleur tout en kiffant sa life actuelle !  Ce programme est un travail profond pour se dépouiller de ses croyances, de ses peurs et de ses blessures afin d’activer la puissance de la joie. Tu trouveras des méditations, des exercices de respiration, de la sophrologie, de la théorie et des mises en action concrète. 
Si l’envie te dis, tu peux le découvrir ici

JOIE

J’espère que tu te portes bien par ce temps très automnal. Est-ce que tu as fait ton bilan des activités de la semaine avec ton tracker ? Qu’est-ce que ça a donné ? Je suis curieuse. Tu peux me répondre en commentaire. 
J’aimerais te raconter quelque chose, d’un peu personnel. 

On m’a toujours dit que j’étais optimiste. C’est vrai.
Mais je crois qu’à un moment donné de ma vie, j’étais dans un optimisme toxique si je puis dire. Je voyais toujours le verre à moitié plein, mais quand il était vide c’était insurmontable. Alors je remplissais, je me remplissais. Je mangeais sans m’arrêter parce que ça me permettait de combler des vides, des creux que je ne voulais pas explorer. Et puis ça envoyait un shoot de dopamine.

 Avec le temps, j’ai compris que toutes les émotions étaient importantes. TOUTES ! Je les ai donc écoutées, l’une après l’autre et j’ai cessé de me remplir. J’ai appris à reconnaitre mes besoins et surtout à comprendre que l’optimisme n’est pas l’absence d’obstacles ou d’émotions désagréables.

L’optimisme c’est comprendre que, malgré les choses disharmonieuses, la vie est belle et la vie est un cycle.
Que rien n’est figé.
Tout finit par passer.
Qu’on peut aller explorer en profondeur la tristesse ou la colère et en sortir entière.

Cela n’empêche pas de pouvoir un jour sourire à nouveau. Bien au contraire. En allant dans l’obscurité, on finit par voir la lumière. On construit des bases solides, pour que notre vie soit d’essence positive.

C’est que je souhaite transmettre. C’est pour cela que j’ai créé le programme JOIE.
Ce programme permet de comprendre comment construire un optimisme sain dans lequel on a le droit (et le devoir) d’aller toucher les émotions désagréables ; dans lequel on comprend que respecter ses besoins est primordial, dans lequel on apprend à réajuster son dialogue interne, pour une vie pleine de joie…
C’est un programme profond, qui n’apporte pas que des shoot de dopamine mais qui changera ta vision des choses sur la vie. Qui t’aidera à te connaitre davantage pour poser des bases solides. 

Si cela t’intéresse, il ouvrira ses portes le 2 octobre 2022 mais tu peux déjà voir le détail de ce qui t’attend et te le procurer ici.

A bientôt 
Natyrel  

Tu as tout faux

« Le bonheur n’est pas toujours dans un ciel éternellement bleu. Mais dans les choses les plus simples de la vie. »

Confucius

Coucou, 
J’espère que tu vas bien. Parler de bonheur et de comment être plus heureux, c’est ma passion. Je suis du genre optimiste et j’aimerais que tout le monde le devienne. 

Mais parfois je trouve qu’on a une vision un peu erronée de la joie et du bonheur. J’en ai discuté dans ce live. J’aimerais bien connaitre ton avis. 

Pour regarder le live c’est ici : https://www.instagram.com/natyrelnappy/

J’ai aussi lancé l’idée d’un challenge bonheur pendant lequel tu recevras, tous les jours pendant 5jours, un mail te permettant d’incorporer dans ton quotidien des activités qui favorisent la joie, ainsi qu’un tracker d’activités. 

A bientôt, 
Natyrel 

L’état de flux

« Je commence un tableau et je le finis ». 

Jean-Michel Basquiat 

Coucou, aujourd’hui on va parler de l’état de flux (ou de flow). La citation juste au-dessus est d’un artiste peintre. Je l’ai choisie car c’est souvent les artistes qui connaissent l’état de flux, qui leur permettent de finir leurs œuvres, mais on peut tous connaitre cet état. 

Qu’est-ce qu’un état de flux ?

C’est un état dans lequel on est immergé dans une sensation fructueuse en et par elle-même, avec laquelle on a l’impression de ne faire qu’un, et où action et conscience fusionnent.

En d’autres termes, l’état de flux se présente à nous lorsque l’on pratique une activité qui a du sens et qui nous fait tellement de bien qu’on ne voit pas le temps passer. Quelle que soit l’activité qu’on exerce, lorsqu’on est en état de flux, on est entièrement focalisé sur cette activité. Ainsi, on donne son plein potentiel à cette activité, puisque nous ne sommes distraits par rien. « Et ces phases de performance optimale sont enrichissantes, sources d’évolution, de progression personnelles ; elles nous font avancer vers notre objectif. » Tal Ben Shahar

On observe très facilement cet état chez les jeunes enfants qui découvrent une activité, chez les artistes, les sportifs, les étudiants qui buchent pour un examen.

Mais, à quoi ça sert d’être dans un état de flux, me diras-tu ?

Eh bien, les chercheurs ont découvert que certaines hormones étaient davantage sécrétées lors du flux : norépinéphrine, dopamine, anandamide, sérotonine et endorphine. Des hormones du plaisir. Ces sécrétions augmentent notre concentration, notre créativité, notre capacité de traitement de l’information et notre motivation.

Trouver des activités, des situations qui nous mettent en état de flux, permet de trouver un bonheur durable, de profiter du voyage vers nos objectifs.
Résultat : l’état de flux a un impact important sur le bien-être et le bonheur, la concentration, l’estime de soi, la créativité et la performance.



Comment atteindre l’état de flux ?

Dans un premier temps, tu dois te fixer des objectifs. Le but doit être clair.
Ensuite, pour l’atteindre, l’activité choisie (sport, art, travail, chant, étude etc.) est challengeante. Elle n’est ni trop facile, ni trop difficile. En effet, si la tâche est complexe mais que notre niveau d’aptitude est bas, on se sentira angoissé. Alors que si notre niveau d’aptitude est plus élevé que la difficulté de l’activité, on s’ennuiera.
Il faut donc trouver le bon équilibre entre difficulté (défi, challenge) et compétences. Et bien sûr, le but est d’y prendre plaisir.

Voilà, j’espère que tu as appris quelque chose. Est-ce que tu as déjà été dans un état de flux ? Tu peux répondre par mail. 

A bientôt 

Ps : As-tu écouté mon dernier podcast ? Celui-ci parle des pierres, leurs utilisations, l’entretien etc. Tu peux l’écouter ici : https://www.youtube.com/watch?v=fvsYAuSnJWk&t=15s

Souffrance et effort

« La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute ». 

Nelson Mandela 

Coucou,

Je lisais un livre qui parlait d’effort et je me suis rendue compte à quel point on pouvait confondre l’effort et la souffrance, ou du moins penser que ces deux notions allaient de pair.

Souffrance et effort ne sont pas synonymes. Souvent, nous confondons le fait de fournir des efforts avec le fait de ressentir de la souffrance, de la douleur. Or, nous pouvons parfaitement être heureux en fournissant des efforts. Il est même nécessaire de relever des défis, de se challenger pour connaitre le bonheur. On croit que pour être heureux, il faut mener une existence oisive. Nous en avons l’exemple type avec Adam et Eve : ils vivaient sans travailler, sans fournir le moindre effort pour avoir ce qu’ils désiraient, ne prévoyaient pas l’avenir. Et puis ils ont goûté au fruit défendu et leur sanction a été de gagner leur pain à la sueur de leur front.

« La notion de labeur acharné comme châtiment est si bien ancrée dans nos civilisations que nous inclinons à dépeindre le paradis- lieu idéal de l’existence idéale- comme exempt de toute peine, et bien sûr de travail. Il s’avère pourtant qu’en ce bas monde pour être heureux on a besoin de travailler. » Tal Ben-Shahar.

En y réfléchissant vraiment, serais-tu heureux si tu passais ton temps à… ne rien faire. Ta nourriture est apportée chaque jour, avant même que tu n’aies faim, tu as de l’argent à profusion, aucun défi à relever, aucun challenge, aucun projet, tu passes tes journées à regarder Netflix. Serais-tu heureux.se ? Moi non, ça m’ennuierait au bout d’un certain temps. Je crois même que je finirais par déprimer un peu. 

Voir ses désirs comblés sans effort ne laisse aucune place à l’espoir, aux aspirations, et au combat.

Voyons les définitions de ces deux mots.
La souffrance est le fait de souffrir, c’est un état prolongé de douleur physique ou morale. Alors que l’effort est la mobilisation volontaire de forces physiques, intellectuelles, morales en vue de résister ou pour vaincre une résistance. Ainsi dans l’effort on utilise ses capacités, ses aptitudes volontairement, alors que dans la souffrance on subit quelque chose de douloureux.
L’effort nous permet de nous dépasser, d’en apprendre davantage sur nous ou la vie.

Je pense que parfois, l’effort nécessaire à atteindre son objectif est tellement grand, tellement en inadéquation avec nos aptitudes, qu’il se transforme en souffrance.

Il n’y a pas très longtemps j’ai fait une randonnée de 2h à la soufrière (le volcan de Guadeloupe). J’ai fourni un effort pour atteindre le sommet. Et cela me plaisait, cet effort me rendait heureuse, parce que j’aime marcher dans un but précis au milieu d’un paysage magnifique. Mais si une personne ayant des rhumatismes sévères, par exemple, faisait cette même randonnée, les efforts à fournir seraient trop grands par rapport à ses aptitudes, et se transformeraient en véritable souffrance.

Il faut donc trouver le bon dosage entre effort et aptitude.
D’ailleurs l’équilibre entre effort et aptitude permet de rentrer dans un état de flux. Est-ce que tu connais ? J’en parlerai prochainement…
 
J’espère que cette newsletter t’a plu. N’hésite pas à me répondre si tu souhaites échanger sur la notion d’effort.

À bientôt.
Peace

PS: as-tu écouté mon dernier podcast ? Je te parle des chakras, leurs fonctions, leurs symboles, les signes qui montrent qu’ils sont équilibrés, bloqués ou surdéveloppés.  N’hésite pas à commenter et à me donner ton avis. 
https://www.youtube.com/watch?v=s3bhZcUu1gk&t=65s