La blessure de rejet

En ce moment je m’informe énormément sur la blessure de rejet. Et je trouve qu’on ne se rend pas bien compte à quel point cette blessure nous éloigne des plaisirs de la vie. 

Elle nous pousse à rejeter les plaisirs, l’argent, le sexe. Elle nous déracine de notre chakra sacré.

Lorsque l’on bloque au niveau de l’abondance, c’est la blessure de rejet.

Lorsqu’on a peur de devenir riche, c’est la blessure de rejet. 

Lorsque le sexe nous parait contraignant, c’est la blessure de rejet. 

C’est fou comme on rejette ce qui nous plait à cause de cette blessure. 

Mais c’est quoi exactement ?

Quand tu es concerné par la blessure de rejet, en général, tu portes un masque. Tu veux disparaitre car tu te sens nul. Tu fuis, tout, pour ne pas souffrir, pour ne pas prendre le risque d’être à nouveau rejeté. Et par conséquent, tu te détaches du matériel, pour être sûr de pouvoir fuir, quand bon te semble. 
Tu as l’impression ne pas être assez bien pour être aimé. Tu es souvent dans la lune, dans l’imaginaire pour fuir la réalité. Car être bien sur Terre est compliqué. 
Tu as du mal à croire qu’on puisse te choisir comme ami, partenaire. Tu as peur de prendre trop de place, de gêner. Alors la solitude est ton remède. Car si tu reçois beaucoup d’attention, tu aurais peur de ne pas savoir quoi faire.

La peur du rejet (mais aussi de l’abandon) amène à rejeter, à repousser pour ne pas souffrir quand ça devient trop gros, trop intense, trop beau pour être vrai. Au final, on a vraiment rien et on peut rassurer son mental en disant « tu vois, on ne le méritait pas ». 

On ne veut pas être dans le trop. 
L’abondance c’est trop. 
L’amour c’est trop. 
La sexualité c’est entrer dans l’intimité, c’est être trop à nu. 

Voilà pourquoi se connecter à la joie est important, car plus on le fait, plus on enlève les couches d’oignons (de blessures, de croyances, de peurs) et plus on devient plus léger, plus serein. Plus on se rapproche de qui on est vraiment. 

Est-ce que tu te reconnais ? As-tu l’impression d’être affecté par la blessure de rejet ? Dis-le moi en retour de mail. 

Mon programme qui te transforme

PS: mon programme JOIE est un travail profond pour se dépouiller de ses croyances, de ses peurs et de ses blessures afin d’activer la puissance de la joie. Tu trouveras des méditations, des exercices de respiration, de la sophrologie, de la théorie et des mises en action concrètes pour être léger, serein et heureux maintenant et dans l’avenir. 
Si l’envie te dis, tu peux le découvrir ici

A bientôt, 
Natyrel 

La théorie du hamburger

« Etre heureux c’est décider de voir la magie dans votre vie et en créer davantage. »

Connais-tu la théorie du hamburger de Tal Ben-Shahar ? Je sais que le nom est un peu étrange, mais cette théorie permet de comprendre les 4 archétypes liés au bonheur. 

Selon lui, nous fonctionnons de 4 manières différentes face à la « recherche » du bonheur. Comme les quatre hamburgers qu’il a un jour mangé : 

Le viveur


– le premier hamburger est celui qui est extrêmement bon au goût mais néfaste pour la santé car plein de gras et d’aliments douteux. On prend du plaisir à le manger maintenant sans penser aux conséquences sur notre santé à moyen-long terme. Cet hamburger est lié à l’archétype du viveur. C’est cette personne qui vit au jour le jour. Qui cumule des activités plaisir éphémères et vides de sens. Qui profite de son présent et sacrifie son avenir. 

Le fonceur


– le deuxième hamburger est celui qui a un goût infecte mais qui n’est composé que d’ingrédients sains. L’assemblage de ces aliments sains, sans épices, font que le burger contribue à maintenir notre santé mais ne nous procure aucun plaisir sur l’instant. C’est l’archétype du fonceur. Le bonheur est toujours pour plus tard : quand j’aurai une grande maison, quand j’aurai une promotion, quand j’aurai un enfant… Ici le présent est dénoué de plaisir dans l’espoir qu’il arrive dans le futur. Mais il n’arrive jamais, car on le repousse constamment, malgré les différents objectifs atteints. 

Le défaitiste


– le troisième hamburger est horrible : ni bon pour la santé, ni bon au goût. Il est lié au défaitiste : celui qui ne croit plus au bonheur, qui pense que c’est pour les autres et pas pour lui. Il a vécu des expériences négatives et en déduit que la vie est ainsi faite, qu’on ne peut rien y changer. 

Le bienheureux


– enfin le dernier burger est à la fois bon pour la santé et excellent au goût. On choisit des aliments sains, que l’on aime, on ajoute quelques épices et le tour est joué ! C’est l’archétype du bienheureux qui ne sacrifie ni son présent, ni son futur. Qui a compris que le bonheur est une ressource illimitée dont on peut se servir en quantité. Les objectifs futurs sont là simplement pour augmenter la joie présente. 

Et toi ?


Dans quel archétype te reconnais-tu ? peut-être as-tu été dans les 4 à certains moments de ta vie ? Peut-être même que tu ne comprends pas un archétype ? 
J’aimerais connaitre ton avis. Tu peux me répondre en commentaire. 

Mon programme qui te transforme



J’ai créé le programme JOIE, justement pour ne plus être dans les 3 premiers archétypes. Le but de la vie est d’être comme le bienheureux. Celui qui se construit un avenir meilleur tout en kiffant sa life actuelle !  Ce programme est un travail profond pour se dépouiller de ses croyances, de ses peurs et de ses blessures afin d’activer la puissance de la joie. Tu trouveras des méditations, des exercices de respiration, de la sophrologie, de la théorie et des mises en action concrète. 
Si l’envie te dis, tu peux le découvrir ici

JOIE

J’espère que tu te portes bien par ce temps très automnal. Est-ce que tu as fait ton bilan des activités de la semaine avec ton tracker ? Qu’est-ce que ça a donné ? Je suis curieuse. Tu peux me répondre en commentaire. 
J’aimerais te raconter quelque chose, d’un peu personnel. 

On m’a toujours dit que j’étais optimiste. C’est vrai.
Mais je crois qu’à un moment donné de ma vie, j’étais dans un optimisme toxique si je puis dire. Je voyais toujours le verre à moitié plein, mais quand il était vide c’était insurmontable. Alors je remplissais, je me remplissais. Je mangeais sans m’arrêter parce que ça me permettait de combler des vides, des creux que je ne voulais pas explorer. Et puis ça envoyait un shoot de dopamine.

 Avec le temps, j’ai compris que toutes les émotions étaient importantes. TOUTES ! Je les ai donc écoutées, l’une après l’autre et j’ai cessé de me remplir. J’ai appris à reconnaitre mes besoins et surtout à comprendre que l’optimisme n’est pas l’absence d’obstacles ou d’émotions désagréables.

L’optimisme c’est comprendre que, malgré les choses disharmonieuses, la vie est belle et la vie est un cycle.
Que rien n’est figé.
Tout finit par passer.
Qu’on peut aller explorer en profondeur la tristesse ou la colère et en sortir entière.

Cela n’empêche pas de pouvoir un jour sourire à nouveau. Bien au contraire. En allant dans l’obscurité, on finit par voir la lumière. On construit des bases solides, pour que notre vie soit d’essence positive.

C’est que je souhaite transmettre. C’est pour cela que j’ai créé le programme JOIE.
Ce programme permet de comprendre comment construire un optimisme sain dans lequel on a le droit (et le devoir) d’aller toucher les émotions désagréables ; dans lequel on comprend que respecter ses besoins est primordial, dans lequel on apprend à réajuster son dialogue interne, pour une vie pleine de joie…
C’est un programme profond, qui n’apporte pas que des shoot de dopamine mais qui changera ta vision des choses sur la vie. Qui t’aidera à te connaitre davantage pour poser des bases solides. 

Si cela t’intéresse, il ouvrira ses portes le 2 octobre 2022 mais tu peux déjà voir le détail de ce qui t’attend et te le procurer ici.

A bientôt 
Natyrel  

Tu as tout faux

« Le bonheur n’est pas toujours dans un ciel éternellement bleu. Mais dans les choses les plus simples de la vie. »

Confucius

Coucou, 
J’espère que tu vas bien. Parler de bonheur et de comment être plus heureux, c’est ma passion. Je suis du genre optimiste et j’aimerais que tout le monde le devienne. 

Mais parfois je trouve qu’on a une vision un peu erronée de la joie et du bonheur. J’en ai discuté dans ce live. J’aimerais bien connaitre ton avis. 

Pour regarder le live c’est ici : https://www.instagram.com/natyrelnappy/

J’ai aussi lancé l’idée d’un challenge bonheur pendant lequel tu recevras, tous les jours pendant 5jours, un mail te permettant d’incorporer dans ton quotidien des activités qui favorisent la joie, ainsi qu’un tracker d’activités. 

A bientôt, 
Natyrel 

L’état de flux

« Je commence un tableau et je le finis ». 

Jean-Michel Basquiat 

Coucou, aujourd’hui on va parler de l’état de flux (ou de flow). La citation juste au-dessus est d’un artiste peintre. Je l’ai choisie car c’est souvent les artistes qui connaissent l’état de flux, qui leur permettent de finir leurs œuvres, mais on peut tous connaitre cet état. 

Qu’est-ce qu’un état de flux ?

C’est un état dans lequel on est immergé dans une sensation fructueuse en et par elle-même, avec laquelle on a l’impression de ne faire qu’un, et où action et conscience fusionnent.

En d’autres termes, l’état de flux se présente à nous lorsque l’on pratique une activité qui a du sens et qui nous fait tellement de bien qu’on ne voit pas le temps passer. Quelle que soit l’activité qu’on exerce, lorsqu’on est en état de flux, on est entièrement focalisé sur cette activité. Ainsi, on donne son plein potentiel à cette activité, puisque nous ne sommes distraits par rien. « Et ces phases de performance optimale sont enrichissantes, sources d’évolution, de progression personnelles ; elles nous font avancer vers notre objectif. » Tal Ben Shahar

On observe très facilement cet état chez les jeunes enfants qui découvrent une activité, chez les artistes, les sportifs, les étudiants qui buchent pour un examen.

Mais, à quoi ça sert d’être dans un état de flux, me diras-tu ?

Eh bien, les chercheurs ont découvert que certaines hormones étaient davantage sécrétées lors du flux : norépinéphrine, dopamine, anandamide, sérotonine et endorphine. Des hormones du plaisir. Ces sécrétions augmentent notre concentration, notre créativité, notre capacité de traitement de l’information et notre motivation.

Trouver des activités, des situations qui nous mettent en état de flux, permet de trouver un bonheur durable, de profiter du voyage vers nos objectifs.
Résultat : l’état de flux a un impact important sur le bien-être et le bonheur, la concentration, l’estime de soi, la créativité et la performance.



Comment atteindre l’état de flux ?

Dans un premier temps, tu dois te fixer des objectifs. Le but doit être clair.
Ensuite, pour l’atteindre, l’activité choisie (sport, art, travail, chant, étude etc.) est challengeante. Elle n’est ni trop facile, ni trop difficile. En effet, si la tâche est complexe mais que notre niveau d’aptitude est bas, on se sentira angoissé. Alors que si notre niveau d’aptitude est plus élevé que la difficulté de l’activité, on s’ennuiera.
Il faut donc trouver le bon équilibre entre difficulté (défi, challenge) et compétences. Et bien sûr, le but est d’y prendre plaisir.

Voilà, j’espère que tu as appris quelque chose. Est-ce que tu as déjà été dans un état de flux ? Tu peux répondre par mail. 

A bientôt 

Ps : As-tu écouté mon dernier podcast ? Celui-ci parle des pierres, leurs utilisations, l’entretien etc. Tu peux l’écouter ici : https://www.youtube.com/watch?v=fvsYAuSnJWk&t=15s

Souffrance et effort

« La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute ». 

Nelson Mandela 

Coucou,

Je lisais un livre qui parlait d’effort et je me suis rendue compte à quel point on pouvait confondre l’effort et la souffrance, ou du moins penser que ces deux notions allaient de pair.

Souffrance et effort ne sont pas synonymes. Souvent, nous confondons le fait de fournir des efforts avec le fait de ressentir de la souffrance, de la douleur. Or, nous pouvons parfaitement être heureux en fournissant des efforts. Il est même nécessaire de relever des défis, de se challenger pour connaitre le bonheur. On croit que pour être heureux, il faut mener une existence oisive. Nous en avons l’exemple type avec Adam et Eve : ils vivaient sans travailler, sans fournir le moindre effort pour avoir ce qu’ils désiraient, ne prévoyaient pas l’avenir. Et puis ils ont goûté au fruit défendu et leur sanction a été de gagner leur pain à la sueur de leur front.

« La notion de labeur acharné comme châtiment est si bien ancrée dans nos civilisations que nous inclinons à dépeindre le paradis- lieu idéal de l’existence idéale- comme exempt de toute peine, et bien sûr de travail. Il s’avère pourtant qu’en ce bas monde pour être heureux on a besoin de travailler. » Tal Ben-Shahar.

En y réfléchissant vraiment, serais-tu heureux si tu passais ton temps à… ne rien faire. Ta nourriture est apportée chaque jour, avant même que tu n’aies faim, tu as de l’argent à profusion, aucun défi à relever, aucun challenge, aucun projet, tu passes tes journées à regarder Netflix. Serais-tu heureux.se ? Moi non, ça m’ennuierait au bout d’un certain temps. Je crois même que je finirais par déprimer un peu. 

Voir ses désirs comblés sans effort ne laisse aucune place à l’espoir, aux aspirations, et au combat.

Voyons les définitions de ces deux mots.
La souffrance est le fait de souffrir, c’est un état prolongé de douleur physique ou morale. Alors que l’effort est la mobilisation volontaire de forces physiques, intellectuelles, morales en vue de résister ou pour vaincre une résistance. Ainsi dans l’effort on utilise ses capacités, ses aptitudes volontairement, alors que dans la souffrance on subit quelque chose de douloureux.
L’effort nous permet de nous dépasser, d’en apprendre davantage sur nous ou la vie.

Je pense que parfois, l’effort nécessaire à atteindre son objectif est tellement grand, tellement en inadéquation avec nos aptitudes, qu’il se transforme en souffrance.

Il n’y a pas très longtemps j’ai fait une randonnée de 2h à la soufrière (le volcan de Guadeloupe). J’ai fourni un effort pour atteindre le sommet. Et cela me plaisait, cet effort me rendait heureuse, parce que j’aime marcher dans un but précis au milieu d’un paysage magnifique. Mais si une personne ayant des rhumatismes sévères, par exemple, faisait cette même randonnée, les efforts à fournir seraient trop grands par rapport à ses aptitudes, et se transformeraient en véritable souffrance.

Il faut donc trouver le bon dosage entre effort et aptitude.
D’ailleurs l’équilibre entre effort et aptitude permet de rentrer dans un état de flux. Est-ce que tu connais ? J’en parlerai prochainement…
 
J’espère que cette newsletter t’a plu. N’hésite pas à me répondre si tu souhaites échanger sur la notion d’effort.

À bientôt.
Peace

PS: as-tu écouté mon dernier podcast ? Je te parle des chakras, leurs fonctions, leurs symboles, les signes qui montrent qu’ils sont équilibrés, bloqués ou surdéveloppés.  N’hésite pas à commenter et à me donner ton avis. 
https://www.youtube.com/watch?v=s3bhZcUu1gk&t=65s
 

Faire des choix

Aujourd’hui j’aimerais parler de choix. 

Je ne sais pas si tu es d’accord avec ça, mais pour moi globalement, la vie n’est qu’une succession de décisions qui nous emmènent là où on souhaite aller. 

Il y a forcément des conséquences à ces choix. Mais s’ils ont été faits en pleine conscience, sans influence, qu’ils sont pleinement assumés, ces conséquences ne peuvent être que bénéfiques pour nous. Et surtout nous permettent d’être en accord avec qui on est, avec nos valeurs (encore elles) et d’avoir une liberté plus grande. 


« Il n’est pas nécessaire pour que je sois libre que je puisse me porter vers l’un et l’autre côté, mais au contraire, plus j’incline d’un côté, plus je suis libre en le choisissant » disait Descartes.

La liberté n’est donc pas de tout faire, partout, tout le temps mais bien de faire des choix. Et ces choix peuvent être adaptés à notre environnement direct, nos contraintes.
Les choix que je prends à chaque instant dessinent ma journée. Le cumul de ces décisions déterminent la vie que je mène. Une vie remplie d’amour, d’échanges, de connaissances, de découvertes, de haine, de colère, de repli. 

«Dans la vie, on a toujours le choix: aimer ou détester, assumer ou fuir, avouer ou mentir, être soi-même ou faire semblant» – Nelson Mandela

Du coup j’ai quelques questions pour toi. Ces questions je me les pose régulièrement, surtout pour tenter d’être le plus alignée possible. 

Est-ce que je prends pleinement mes responsabilités dans les choix que je fais, est-ce que je prends pleinement la responsabilité de ma vie en faisant des choix en conscience et non dictés par mes peurs, mes croyances ou les on dit ?Qu’est-ce que je fais chaque jour pour aller au plus près de la vie que je veux mener ?

Alors ? Tu es plutôt team je me laisse porter ? ou team, je suis maitre de ma vie ?

A bientôt.
Paix
Natyrel 

Quelques livres

Salut, salut .

Cet été je suis partie en Guadeloupe et malgré la situation, ça m’a fait un bien fou de faire le plein de fruits, de soleil, de mer et de rivière et de voir toute ma famille. J’ai pris le temps également pour avancer sur ma formation en transgénérationnel et lire.

Voici donc les 3 livres que je vais partager :
La communication non violente de MarshallB. Rosenberg. 
Femme optimale de Miranda Gray
Eduquer sans punir de Thomas Gordon. 

Femme optimale de Miranda Gray est un livre qui explique en détails le fonctionnement en 4 phases du cycle menstruel . La phase contemplative qui correspond à la période des règles, la phase dynamique qui correspond à la période pré-ovulatoire, la phase expressive (période ovulatoire) et la phase créative (période pré-menstruelle).
Malgré le fait que j’en connais un paquet sur le féminin sacré ( j’ai même fait une formation là là-dessus), le livre m’a beaucoup plu et m’a appris pas mal de choses. En effet, l’auteure met l’accent sur ce qu’on peut faire concrètement durant les 4 phases du cycle pour utiliser de façon optimale ses capacités physiques et cognitives. Il y a un même un plan avec des activités à suivre sur tout son cycle pour s’approprier la notion d’optimisation des capacités.

La communication non violente de Marshall B. Rosenberg est un petit guide de 100 pages et très peu cher (5,95 euros) sur les principes de base de la CNV. Ainsi la CNV porte son attention sur 4 points :
1) ce qui se passe en moi (ce que j’observe, ce que je ressens et mes besoins),
2) ce que je demande pour me rendre la vie plus belle,
3) ce qui se passe en l’autre,
4) ce que l’autre demande.

Ainsi lorsque l’on communique avec l’autre de façon bienveillante et pour prendre pleinement sa part de responsabilités dans ce que l’on ressent et nos besoins, l’auteur préconise de s’appuyer sur les points ci-dessus. Concrètement cela donne par exemple: je suis reconnaissante (ce que je ressens) que vous m’ayez raccompagnée en voiture (ce que j’observe) parce que j’avais besoin de rentrer à la maison avant mes enfants (mon besoin). Les points 3 et 4 qui concernent l’autre sont à utiliser lors d’une écoute empathique qui permettra à l’autre de se confier en confiance. Ce que j’ai apprécié est le fait que le livre soit concis. On peut le relire très facilement pour s’imprégner du concept.

Eduquer sans punir de Thomas Gordon est un livre qui a pour but de sortir du système de punitions, inefficaces à long terme afin d’apprendre l’auto-discipline aux enfants. Les enfants « obéiront » aux règles, non pas par crainte des punitions éventuelles mais par conviction. Thomas Gordon met bien en garde sur le fait que ne pas punir ne consiste pas à être laxiste. Ne pas avoir recours au premier mode de fonctionnement n’empêche pas d’établir un cadre nécessaire à tout bon développement de l’enfant. Selon l’auteur, les récompenses ou compliments sont tout aussi inutiles.

Comment réagir dans ce cas me diras-tu ?  Gordon préconise la méthode gagnant-gagnant que je connaissais déjà grâce à son livre Parents efficaces. C’est-à-dire trouver une solution qui satisfasse les deux parties en résolvant un problème en six étapes :
1) identifier le problème
2) Enumérer des solutions possibles
3) Evaluer les solutions : sont-elles vraiment applicables ?
4) Choisir une solution
5) Appliquer la solution
6) Evaluer les résultats.
On peut le faire à tout moment ou lors de conseil de famille ou d’élèves.
Ce que j’ai aimé c’est que le livre s’adresse aussi bien aux enseignants qu’aux parents, ce qui est parfait pour moi, ayant les deux casquettes 😉 . Thomas Gordon expose tout au long du livre des exemples réels issus de cas pratiques d’enseignants ou parents ayant suivi ses formations. C’est un livre très enrichissant qui m’a fait réfléchir sur mon fonctionnement à la maison et en classe.

Voilà, j’espère que ces petits résumés t’ont plu. Dis-moi en commentaires si tu as déjà lu l’un de ces livres ou si tu as des livres du même genre à me conseiller.

A bientôt et n’hésite pas à partager autour de toi si tu penses que cette newsletter peut intéresser ton entourage 😉

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